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Vignette des affiche de l'an II
PABAN Bernard (dit Massuf), ex abbé de l’église de Colombe et commis marchand depuis 1790, natif de Clermont, domicilié à Bordeaux, département de la Gironde, condamné à mort comme contre-révolutionnaire, le 8 germinal an 2, par la commission militaire de Bordeaux.
PACALIN Claude, fabricant de soie, âgé de 39 ans, né et domicilié à Lyon, département du Rhône, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 7 pluviôse an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.
PACAUD François, domicilié à Ligron, département de la Loire Inférieure, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 16 nivôse an 2, par la commission militaire de Savenay.
PACHE Jean, affaneur, âgé de 39 ans, né et domicilié à Lyon, département du Rhône, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 15 frimaire an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.
PACHE Jean Nicolas ( 1746 - Ardennes 1823 ) ministre, Fils du concierge de l’hôtel du duc de Castries
PACHOT René, domicilié à Latour-Landry, département de Mayenne et Loire, condamné à mort comme brigand de la Vendée le 12 nivôse an 2, par la commission militaire de Nantes.
PACOT François, gendarme, domicilié à Paris, département de la Seine, condamné à mort le 6 prairial an 3, par le conseil militaire, comme convaincu d’avoir abandonné le poste de l’arsenal et s’être mêlé parmi les révoltés contre la convention nationale, les 3 et 4 prairial an 3.
PACOT Louis, ex prêtre et dominicain, âgé de 34 ans, natif de Couvin, pays de Liége, domicilié à Paris, département de la Seine, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 29 floréal an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris.
PACQUÉ Antoine, chasseur du 22ème bataillon de l’Empire, domicilié au Pont-de-Cé, département de Mayenne et Loire, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 12 frimaire an 2, par la commission militaire du Pont-de-Cé.
PACQUIER Pierre, domicilié aux Herbiers, département de la Vendée, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 3 nivôse an 2, par la commission militaire de Savenay.
PACQUIER Jean, domicilié à Cugand, département de la Loire Inférieure, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 3 nivôse an 2, par la commission militaire de Savenay.
PACQUIER Jean, domicilié aux Herbiers, département de la Vendée, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 5 nivôse an 2, par la commission militaire de Savenay.
PACQUIER René, domicilié à Nantes, département de la Loire Inférieure, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 11 nivôse an 2, par la commission militaire de Nantes.
PACQUOT Jacques, domicilié aux Herbiers, département de la Vendée, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 5 nivôse an 2, par la commission militaire de Savenay.
PACQUOT Louis, domicilié aux Herbiers, département de la Vendée, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 5 nivôse an 2, par la commission militaire de Savenay.
PACREAU Jean, domicilié à Thibaudière, près de Loroux, département de la Loire Inférieure, condamné à mort comme brigand de la Vendée le 12 nivôse an 2, par la commission militaire de Nantes.
PADHER Etienne, fabricant de savon, domicilié à Avranches, département de la Manche, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 2 frimaire an 2, par la commission militaire de Grandville.
PAFFE Jacques Louis Auguste, marchand bonnetier et notable, âgé de 41 ans, né et domicilié à Paris, département de la Seine, mis hors la loi par décret de la convention nationale du 9 thermidor an 2, comme traite à la patrie, exécuté le 11.
PAGÉS Paul, faiseur de bas, domicilié à Uzés-la-Montagne, département du Gard, condamné à mort comme conspirateur le 5 thermidor an 2, par le tribunal criminel du département du Nord.
PAGES Antoine, déserteur, domicilié à Bruel-d’Esclanèdes, département de la Lozère, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 26 juin 1793, par le tribunal criminel dudit département.
PAGES Jean Baptiste, (dit Labouissette), propriétaire et cultivateur, domicilié à Senac, département du Lot, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 9 thermidor an 2, par la commission militaire de Nantes.
PAGEOT Jean, domestique, domicilié à Aisy, département de la Côte-d’Or, condamné à mort comme émigré le 9 pluviôse an 2, par le tribunal criminel dudit département.
PAGIS Françoise, elle fut condamnée et fusillée le 1er février à la Haie-aux-Bonshommes
PAIGNON F. M., femme Tardieu-Malesy, âgée de 56 ans, née à Paris, ex noble, condamnée à mort le 22 messidor an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris, comme complice de la conspiration de la prison du Luxembourg, où elle était détenue.
PAILLARD François, domicilié aux Herbiers, département de la Vendée, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 4 nivôse an 2, par la commission militaire de Savenay.
PAILLARD Jean, laboureur, domicilié à Pertre, département d’Ille-et-Vilaine, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 2 floréal an 2, par la commission révolutionnaire de Laval.
PAILLARD Jean, laboureur, domicilié à Beaulieu, département de la Mayenne, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 27 prairial an 2, par la commission révolutionnaire de Laval.
PAILLARD Camille François, marchand drapier, âgé de 27 ans, né et domicilié à Lyon, département du Rhône, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 14 nivôse an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.
PAILLASSON Benoît Joseph, père, épicier âgé de 61 ans, né à Amplepuis, domicilié à Lyon, département du Rhône, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 14 pluviôse an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.
PAILLASSON Victor, fils, épicier, âgé de 19 ans, né et domicilié à Lyon, département du Rhône, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 14 pluviôse an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.
PAILLASSON Edouard, épicier, membre de la municipalité provisoire, domicilié à Lyon, département du Rhône, condamné à mort comme contre-révolutionnaire en brumaire an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.
PAILLET D., âgé de 34 ans, né à Husson, administrateur du district de Monistrol, département de la Haute Loire, condamné à mort comme conspirateur le 28 messidor an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris.
PAILLET Jeanne Françoise, journalière, domiciliée à Bussey-les-Gy, département de la Saône, condamnée à mort comme voleur avec récidive, le 18 thermidor an 2, par le tribunal criminel dudit département.
PAILLOT Anatolle, maître de pension, âgé de 42 ans, né à Lyon, département du Rhône, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 15 frimaire an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.
PAILLOT Charles, commis au département du Rhône, âgé de 31 ans, né à Nuy, département de lYonne, domicilié à Lyon, département du Rhône, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 18 frimaire an 2, par la commission révolutionnaire de la dite ville.
PAILLOT Louis Nicolas, âgé de 44 ans, né à Troyes, département de l’Aube, ex lieutenant générale du Bailliage de Troyes, domicilié à St Thibault, même département, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 14 nivôse an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris.
PAILLOU Jacques René, père, domicilié à Flosselière, département de la Vendée, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 21 nivôse an 2, par la commission militaire de Port-Malo.
PAIN François, domicilié aux Herbiers, département de la Vendée, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 4 nivôse an 2, par la commission militaire de Savenay.
PAIN Baptiste, fils, âgé de 42 ans, homme de loi, accusateur public, né à Villefranche, y demeurant, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 15 frimaire an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.
PAINDAVOINE Claude, âgé de 53 ans, natif de l’Epine, département de la Marne, concierge de la maison des ci-devant Loterier, domicilié à Paris, département de la Seine, condamné à mort comme le 29 prairial an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris, comme contre-révolutionnaire, agent de la faction de l’étranger, complice de l’assassinat du représentant du peuple Collot-d’Herbois et Robesspierre ; il a été conduit à l’échafaud avec une chemise rouge.
PAINPARÉ, commissaire de police, domicilié à Cholet, département de Mayenne et Loire, condamné à mort comme conspirateur le 3 nivôse an 2, par la commission militaire de Saumur.
PAISOTTE Pierre, domicilié à Nantes, département de la Loire Inférieure, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 10 nivôse an 2, par la commission militaire de la dite ville.
PAISSOT Mathurin, domicilié à Baulieu, département de la Mayenne et Loire, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 16 nivôse an 2, par la commission militaire de Nantes.
PAJAUT Jean Etienne Denis, domicilié à Cholet, département de Mayenne et Loire, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 3 nivôse an 2, par la commission militaire de Port-Malo.
PAJOL Antoine, âgé de 32 ans, natif d’Erroussa, département de l’Allier, ci-devant avoué, domicilié à Moulins, même département, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 11 nivôse an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.
PALANGIÉ François, prêtre, domicilié à St Geniès, département de l’Aveyron, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 11 prairial an 2, par le tribunal criminel dudit département.
PALARD Pierre, domicilié à Nantes, département de la Loire Inférieure, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 15 nivôse an 2, par la commission militaire de Nantes.
PALARDY Jacques, domicilié à Puy-Maufray-sur-Yon, département de la Vendée, condamné à mort le 5 nivôse an 2, par la commission militaire de Savenay.
PALHOU Antoine, architecte, domicilié à Beaucaire, département du Gard, condamné à mort comme fédéraliste le 29 messidor an 2, par le tribunal criminel dudit département.
PALLANDRE Arnaud Antoine, âgé de 45 ans, libraire, né et domicilié à Bordeaux, département de la Gironde, condamné à mort comme fédéraliste, le 28 prairial an 2, par la commission militaire de Bordeaux.
PALLARD Louis, maréchal, domicilié à St Martin, département de la Vendée, condamné à mort comme conspirateur le 23 nivôse an 2, par la commission militaire d’Angers.
PALLERON Louis, âgé de 20 ans, marchand épicier, né et domicilié à Lyon, département du Rhône, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 14 frimaire an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.
PALLIÉ Laurent, âgé de 69 ans, rentier, né et domicilié à Lyon, département du Rhône, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 3 pluviôse an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.
PALLIER Joachim, domicilié à Bourganeuf, département de la Loire Inférieure, condamné à mort comme émigré le 16 messidor an 2, par le tribunal militaire du 1er arrondissement de l’armée des Pyrénées-Orientales.
PALLIÈS Antoine, scieur de long, domicilié à Cas, département du Lot, condamné à mort comme brigand de la Vendée le 21 nivôse an 2, par le tribunal criminel dudit département.
PALLU André, âgé de 31 ans, instituteur, né et domicilié à Lyon, département du Rhône, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 26 frimaire an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.
PALLUSSIÈRE Pierre, journalier, domicilié à St Laurent-du-Mottais, département de Mayenne et Loire, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 12 nivôse an 2, par la commission militaire de Sablé.
PALMADE Jean Pierre (dit Fraxime), âgé de 63 ans, étaleur, ci-devant lieutenant particulier de la sénéchaussée de Pamiers, né et domicilié à Pamiers, département de l’Ariège, condamné à mort le 23 prairial an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris, comme complice des trames liberticides, dont le foyer était dans la commune de Pamiers.
PALOTOT J., âgé de 25 ans, né à Paris, département de la Seine, commissaire, domicilié à Paris, condamné à mort comme le 4 thermidor an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris, comme complice d’une conspiration dans la prison du Luxembourg, où il était détenu.
PALTY François, soldat au 6ème régiment d’infanterie légère, domicilié à Strasbourg, département du Bas-Rhin, condamné à mort comme émigré, le 2 brumaire an 3, par la commission militaire de Strasbourg.
PALUSIER Mathurin, domicilié à St Pierre-Matimar, département de la Mayenne et Loire, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 12 nivôse an 2, par la commission militaire de Nantes.
PALUSSIER, domicilié à Montglonne, département de Mayenne et Loire, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 13 nivôse an 2, par la commission militaire de Nantes.
PALUSSIER Pierre, domicilié à Montglonne, département de Mayenne et Loire, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 3 nivôse an 2, par la commission militaire de Nantes.
PANEQUIER Louis, conducteur de charrois à l’armée des Pyrénées-Orientales, domicilié à Riom, département du Puy-de-Dôme, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 14 germinal an 2, par le tribunal militaire du 1er arrondissement des Pyrénées-Orientales de Chauvin Dragon.
PANETIER Simon, âgé de 75 ans, prêtre, né et domicilié à Bordeaux, département de la Gironde, condamné à mort le 3 thermidor an 2, par la commission militaire de Bordeaux, comme convaincu d’avoir favorisé des conspirations, mis hors la loi, et de n’avoir pas accepté la convention de 1793.
PANNET Jean, domicilié à Vounay, département des Deux-Sèvres, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 11 nivôse an 2, par la commission militaire de Nantes.
PANNIER Louis Antoine Joseph, ex curé, domicilié à Armentières, département du Nord, condamné à mort comme émigré le 26 vendémiaire an 3, par la commission militaire de Valenciennes.
PASSERAT Nicolas, âgé de 26 ans, né à Béfort en Alsace, verrier, domicilié à Lyon, département du Rhône, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 16 nivôse an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.
PAOMT Jean, domicilié à Narbonne, département de l’Aude, condamné à mort comme émigré le 19 messidor an 2, par le tribunal militaire du 2ème arrondissement de l’armée des Pyrénées-Orientales.
PAPA N., âgé de 34 ans, né à Nullière, volontaire, condamné à mort comme conspirateur le 28 messidor an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris.
PAPAREL Pierre, père, fermier, domicilié à Chanac, département de la Lozère, condamné à mort comme complice de séditieux le 24 floréal an 2, par le tribunal criminel dudit département.
PAPAREL Pierre (dit chenac), domicilié à Chenac, département de la Lozère, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 14 juin 1793, par le tribunal criminel dudit département.
PAPAREL 1er frère, ex curé de Vabres, domicilié à Mende, département de la Lozère, condamné à mort comme séditieux, contumace le 27 germinal an 2, par le tribunal criminel dudit département.
PAPAREL, 2ème frère, ex vicaire, domicilié à Javois, département de la Lozère, condamné à mort comme séditieux le 27 germinal an 2, par le tribunal criminel dudit département.
PAPE Pierre, domicilié à la Chapelle-St-Sauveur, département de la Loire Inférieure, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 30 nivôse an 2, par la commission militaire de Nantes.
PAPELAU René, domicilié à Larabatière, département de la Vendée, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 3 nivôse an 2, par la commission militaire de Savenay.
PAPILLON Denis Pierre Jean, (dit Laferté), âgé de 67 ans, né à Châlon, département de la Marne, ex commissaire des menus plaisirs de Capet, domicilié à Paris, département de la Seine, condamné à mort le 19 messidor an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris, comme complice d’une conspiration dans la maison d’arrêt du Luxembourg où il était détenu.
PAPILLON Nicolas Jacques (dit Dauteroche), âgé de 64 ans, natif de Châlon, département de la Marne, ex noble et fermier général, domicilié à Paris, département de la Seine, condamné à mort le 19 flroréal an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris, comme complice d’un complot contre le peuple français, notamment en mêlant au tabac de l’eau et des ingrédients nuisibles à la santé des citoyens qui en faisaient usage.
PAPIN Jean, garçon laboureur, domicilié à Cholet, département de Mayenne et Loire, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 12 nivôse an 2, par la commission militaire de Sablé.
PAPIN François, domicilié à St Pierre-de-Chemillé, département de la Mayenne et Loire, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 15 nivôse an 2, par la commission militaire de Nantes.
PAPIN Denis, domicilié à la Chapelle-St-Florent, département de Mayenne et Loire, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 13 nivôse an 2, par la commission militaire de Nantes.
PAPIN Antoine, domicilié à Montglone, département de Mayenne et Loire, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 13 nivôse an 2, par la commission militaire de Nantes.
PAPIN Jean, domicilié à St Menel, département de Mayenne et Loire, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 11 nivôse an 2, par la commission militaire de Nantes.
PAPIN François, domicilié à St Léger, département de Mayenne et Loire, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 4 nivôse an 2, par la commission militaire de Nantes.
PAPIN François, domicilié à Noailles, département de Mayenne et Loire, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 6 nivôse an 2, par la commission militaire de Savenay.
PAPIN Jean, domicilié à Angers, département de Mayenne et Loire, condamné à mort le 3 nivôse an 2, par la commission militaire de Saumur, comme conspirateur.
PAPIN Jacques, domicilié à Angers, département de Mayenne et Loire, condamné à mort le 22 frimaire an 2, par la commission militaire de Doué, comme conspirateur.
PAPIN Bazile, domicilié à Arnais, département de Mayenne et Loire, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 28 nivôse an 2, par la commission militaire de Nantes.
PAPION François, officier municipal, domicilié à Réaumur, département de la Vendée, condamné à mort comme conspirateur le 23 ventôse an 2, par le tribunal révolutionnaire de Charente Inférieure
PAPOYANT René, laboureur, domicilié au Mans, département de la Sarthe, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 22 nivôse an 2, par le tribunal criminel dudit département.PAPOYANT Jean, domicilié au Mans, département de la Sarthe, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 22 nivôse an 2, par le tribunal criminel dudit département.
PAQUANT René, marinier, domicilié à Châtellerault, département de la Vienne, condamné à mort comme conspirateur le 6 nivôse an 2, par la commission militaire de Saumur.
PAQUELOT François, domicilié à Beaurepaire, département de Mayenne et Loire, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 12 nivôse an 2, par la commission militaire de Nantes.
PAQUEREAU Pierre, fermier, domicilié à Loroux-Bottereau, département de la Loire Inférieure, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 20 nivôse an 2, par le tribunal criminel du département de la Sarthe.
PAQUEREAU Laurent, domicilié à Loroux-Bottereau, département de la Loire Inférieure, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 20 nivôse an 2, par le tribunal criminel du département de la Sarthe.
PAQUEREAU Joseph, domicilié à Loroux-Bottereau, département de la Loire Inférieure, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 30 nivôse an 2, par le tribunal criminel du département de la Sarthe.
PAQUEREAU Julien, garçon boulanger, domicilié à Loroux-Bottereau, département de la Loire Inférieure, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 18 nivôse an 2, par le tribunal criminel du département de la Sarthe.
PAQUET Julien, domestique, domicilié à Angers, département de la Mayenne et Loire, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 17 frimaire an 2, par la commission militaire de Doué.
PAQUET Claude, peintre vernisseur, âgé de 20 ans, né et domicilié à Lyon, département du Rhône, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 14 nivôse an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.
PAQUETON Pierre, journalier, ex soldat au 2ème bataillon du Gard, 3ème compagnie, domicilié à Valence, département de la Drôme, condamné à mort comme émigré le 28 vendémiaire an 3, par la commission militaire de Bruxelles.
PAQUOTTE Jean, cizeleur, officier municipal, âgé de 48 ans, natif de Troyes, département de l’Aube, domicilié à Paris, département de la Seine, mis hors la loi par décret de la convention du 9 thermidor an 2, comme traître à la patrie, exécuté le 11.
PARADAN (dit Bidet), domicilié à Mende, département de la Lozère, condamné à mort comme séditieux le 27 germinal an 2, par le tribunal criminel dudit département.
PARADIS Jean Marguerite, ci-devant, avocat, ex noble, âgé de 50 ans, né à Bourg, domicilié à Lyon, département du Rhône, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 9 nivôse an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.
PARAT Claude, ex vicaire de Rozière, âgé de 42 ans, né à Aurieil, département de l’Allier, domicilié à Rosay, département de la Haute Loire, condamné à mort le 27 messidor an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris, comme contre-révolutionnaire en semant la discorde dans l’ame des citoyens par les erreur du fanatisme.
PARCELLE Adrien François, (dit St Cristau), ex fermier général, âgé de 44 ans, natif de rennes, département d’Ille-et-Vilaine, domicilié à Paris, département de la Seine, condamné à mort le 19 floréalan 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris, comme complice d’un complot contre le peuple français, notamment en mettant dans le tabac de l’eau et des ingrédients nuisibles à la santé des citoyens qui en faisaient usage.
PARCHEY Jean, domicilié à Châtillon, département des Deux Sèvres, condamné à mort le 17 nivôse an 2, par la commission militaire de Nantes, comme brigand de la Vendée.
PARÉ Bonaventure, volontaire dans la 7ème compagnie du 5ème bataillon du Mont-Blanc, domicilié à Montmélian, même département, condamné à mort comme émigré le 9 fructidor an 2, par le tribunal militaire du 2ème arrondissement de l’armée des Pyrénées-Orientales.
PARENT N. né à Torigny, département de la Seine et Marne, vivant de son bien, domicilié à Paris, département de la Seine, condamné à mort le 5 thermidor an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris, comme conspirateur, ayant fait différents voyages en Allemagne en suisse, et n’étant rentré en France qu’au mois d’avril 1793
PARENT Nicolas, ex député à l’assemblé constituante, ci-devant avocat du tyran roi au bailliage et siège présidial de Troyes, âgé de 37 ans, domicilié à Troyes, département de l’Aube, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 14 pluviôse an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris.PARENT Jacques, domicilié à Chalonnes, département de Mayenne et Loire, condamné à mort comme brigand de la Vendée le 12 frimaire an 2, par la commission militaire du Pont-de-Cé.
PARENT Jean, domicilié à Chalonnes, département de Mayenne et Loire, condamné à mort comme brigand de la Vendée, le 3 nivôse an 2, par la commission militaire de Saumur.
PARENT Jean, laboureur, domicilié à Chalonnes, département de Mayenne et Loire, condamné à mort comme conspirateur le 3 nivôse an 2, par la commission militaire de Saumur.
PARFAIT Jean, maître d’école, âgé de 45 ans, né à Vitry-le-Français, domicilié à Moreuil, département de la Sarthe, condamné à mort le 2 messidor an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris, comme ennemi du peuple, ayant dit à une citoyenne : ma bonne femme ne soutenez point la république, à Chevillers et à Moreuil ils ne veulent pas la soutenir, il faut que votre fils fasse de même, empêchez-le de tirer au sort ; croyez-moi, ils ne veulent ici ni les uns ni les autres être républicains, et je suis sûr comme de mourir un jour, que jamais la république ne tiendra.
PARIA Louis, épicier, âgé de 42 ans, natif de Mâcon, domicilié à Lyon, département du Rhône, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 7 pluviôse an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.
PARIAT, médecin à Feurs, département de la Loire, condamné à mort comme fédéraliste le .. frimaire an 2, par le tribunal de justice révolutionnaire de Feurs.
PARIS André, conducteur de diligence, âgé de 47 ans, né à Troyes, département de l’Aube, palefrenier du ci-devant duc de Brissac, domicilié à Paris, département de la Seine, condamné à mort le 22 messidor an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris, comme ayant secondé les projets liberticides du tyran Capet à la journée du 10 août 1792, et comme agent des correspondances de Brissac avec la femme Dubarry
PARIS François, employé à l’état major du 2ème bataillon de l’Aube, âgé de 22 ans, né et domicilié à Colombé-la-Fosse, département de l’Aube, condamné à mort comme le 27 messidor an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris, comme ayant favorisé l’émigration du nommé Mandat.
PARIS Pierre Louis, professeur de belles-lettres, et officier municipal, âgé de 33 ans, né et domicilié à Paris, département de la Seine, mis hors la loi par décret de la convention nationale du 9 thermidor an 2, comme traître à la patrie, exécuté le 11.
PARIS Louis, cultivateur et déserteur du 8ème régiment des cuirassiers, domicilié à Berlette, département du Nord, condamné à mort comme émigré, le 2 thermidor an 2, par le tribunal militaire de l’armée du Nord.
PARIS Simon, âgé de 57 ans, natif de Nevers, département de la Nièvre, ancien professeur du collège de Bordeaux, depuis la révolution juge de paix, domicilié à Bordeaux, département de la Gironde, condamné à mort le 29 floréal an 2, par la commission révolutionnaire de Bordeaux, comme contre-révolutionnaire, pour avoir employé ses talents que pour justifier des aristocrates connus, tels que Lumière et Auguste Journu, dont les têtes sont tombées sous le glaive de la loi.
PARIS Claude, soldat au 2ème bataillon de la 86ème demi-brigade, domicilié à Pont-sur-Allier, département du Puy-de-Dôme, condamné à mort le 22 vendémiaire an 3, par le tribunal criminel du département des Ardennes, comme distributeur de faux assignats.
PARIS Jean René, ex curé, domicilié à St Martin-de-Clocher, département de la Charente, condamné à mort comme fédéraliste le 28 ventôse an 2, par le tribunal criminel du département de la Vienne.
PARISEAU P. H., âgé de 41 ans, né et domicilié à Paris, département de la Seine, journaliste, condamné à mort le 22 messidor an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris, comme complice d’une conspiration dans la prison du Luxembourg où il était détenu.
PARISOT François, ci-devant commissaire de la comptabilité, grenadier des filles St Thomas et aide de camp de Lafayette, âgé de 50 ans, natif de Lyon, département du Rhône, domicilié à Paris, département de la Seine, condamné à mort comme le 14 floréal an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris, comme contre-révolutionnaire, complice des nommés Tassin, et agent de la conspiration de Capet, au 10 août 1792.
PARISOT Jean Louis, coiffeur de femme, âgé de 27 ans, né à Paris, département de la Seine, domicilié à Lyon, département du Rhône, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 9 pluviôse an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.
PARISOT Anne Marie Louise Catherine, femme Caroudelet, âgée d’environ 92 ans, ex noble, domiciliée à Cambray, département du Nord, condamnée à mort le 16 prairial an 2, par le tribunal révolutionnaire de Cambray, comme ne s’étant point retirée de ladite ville, place forte, d’où elle devait sortir comme ex noble.
PARISSE Jean, chasseur au 11ème régiment, domicilié à Versois, département de l’Ain, condamné à mort le 14 messidor an 2, par le tribunal criminel du département de la Meuse, comme distributeur de faux assignats.
PARJOLINO René, domicilié à Nivernot, département de la Loire Inférieure, condamné à mort comme brigand de la Vendée le 17 nivôse an 2, par la commission militaire de Nantes.
PARMENTIER Anne Madeleine Lucile, femme Lemoyne-Crecy, âgée de 52 ans, natif de Clermont, département de la Meuse, domiciliée à Paris, département la Seine, condamnée à mort le 29 prairial an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris, comme complice de la faction de l’étranger, et comme ayant approuvé les discours de Porte-Bœuf, qui applaudissait à l’assassinat du représentant du peuple, Collot-d’Herbois ; elle a été conduite à l’échafaud avec une chemise rouge
PARMENTIER Pierre, commis chez Dumont, receveur des rentes, âgé de 29 ans, né et domicilié à Paris, département de la Seine, condamné à mort le 3 floréal an 2, par le tribunal révolutionnaire de Paris, comme convaincu d’avoir favorisé, les efforts des ennemis de la république.
PARMENTIER Claude, menuisier, âgé de 45 ans, né à Choinessance près de farbourg, domicilié à Lyon, département du Rhône, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 15 frimaire an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.
PARRET Michel, épicier, âgé de 23 ans, né à St Bonnet-la-Montagne, domicilié à Lyon, département du Rhône, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 14 nivôse an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.
PARRIGAUD Pierre, commis drapier, âgé de 22 ans, né à Beaune, domicilié à Lyon, département du Rhône, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 8 nivôse an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.
PARSEVAL Charles René (de Frileuse), fermier
général guillotiné le 19 floréal an II
PARSEVAL Alexandre Philibert Pierre (de Frileuse),
fermier général guillotiné le 19 floréal an II
PASSAVANT Julien Né au Bot, en Guégon, il est guillotiné à Vannes le 24 décembre 1803, en tant que contre-révolutionnaire.
PASSEMARD Benoît, cabaretier, âgé de 50 ans, né à Ambert, département du Puy-de-Dôme, domicilié à Lyon, département du Rhône, condamné à mort comme contre-révolutionnaire le 2 nivôse an 2, par la commission révolutionnaire de Lyon.